Cet été, de nombreuses familles se prélassent au soleil, s’adonnent aux plaisirs de la natation, de la navigation ou de la pêche et fréquentent les milliers de plages bordant les Grands Lacs et formant plus de 10 500 milles (16 000 kilomètres) de littoral d’eau douce…
Proliférations d’algues nuisibles
Au début du printemps, tout le monde guette avec impatience les premières efflorescences de toutes sortes… sauf celles des algues.
Un poisson appelé Kiyi a évolué au point de voir particulièrement bien dans les parties profondes du lac Supérieur, ce qui, selon des recherches récentes de l’Université de Buffalo, lui procure un avantage important à des profondeurs où la lumière pénètre peu.
« Ce n’est pas parce que le lac Supérieur est grand qu’il ne peut pas changer... en fait, c’est l’un des lacs qui change le plus rapidement au monde », selon Jay Austin, professeur à l’Observatoire des grands lacs de l’Université du Minnesota à Duluth.
Pour réaliser des progrès opportuns et significatifs en vue d’améliorer la santé des Grands Lacs, il faudra un village.
Maintenant plus que jamais, il est temps d’améliorer la coopération binationale pour assurer la santé des eaux et des habitants du bassin des Grands Lacs.
Cette émission sera diffusée en direct le jeudi 10 décembre 2020, de 15 h 30 à 16 h 30 HE.